8 mars – jour 6
Dernière course. 9,1 km, départ du camp et arrivée dans le sable après une ligne droite interminable.
Nous sommes accueillies et escortées jusqu’à la ligne d’arrivée par deux chevaux de parade.
La fête d’accueil est très officielle : sono, micro, discours, remise d’une calebasse décorée à Monsieur Jean-Michel.
La dotation et distribution des jeux étaient chouettes : l’instituteur nous a ému en nous demandant, étonné, si on lui laissait vraiment les jeux…
Retour en calèches mouvementé : le cheval de la calèche d’Hélène n’a plus voulu avancer pour aller jusqu’au camp.
Photo de groupe sur la plage.
Après-midi sieste / plage.
Shopping pour tout le monde au marché d’artisanat : assauts répétés « pour le plaisir des yeux », « j’ai rien vendu aujourd’hui », « tu m’avais promis que tu entrerais dans ma boutique », « s’il te plaît c’est pas cher », « 5000 c’est le premier prix, après on discute », « tu m’as vexée », « tu es mon amie »…
Bijoux, objets en bois (« c’est le travail des hommes, nous on gagne rien »).
Remise des prix, discours de Jean-Michel sur le courage des coureuses, l’accent est mis sur l’échange entre Sénégazelle et Sénégalais. Chaque gazelle reçoit un tableau de sable en récompense.
Après le repas, un spectacle de danse africaine (une représentation des danses de possession), avec un cracheur de feu en transe qui déstabilise les spectatrices.