7 mars – jour 5
Bon anniversaire Anaïs !
Course contre la montre. Les randonneuses, fin de classement, partent les premières, par groupe de 10, et un nouveau groupe part toutes les deux minutes dans l’ordre inverse du classement. Sophie, Corine et moi on part ensemble à T + 8. On garde le même rythme, un bon rythme, avec Corine, talonnées par une Allemande qui ne tiendra pas la distance ! Parcours relativement facile. C’est très boostant de doubler les coureuses, on a l’impression d’être des championnes ! Très vite (impression) on arrive dans le village : première accélération, et puis on voit Edith (notre référence par rapport à l’arrivée, parce que quand on voit l’une, l’autre n’est pas loin!). On garde le rythme soutenu. Et puis les enfants et on sprinte, main dans la main !
Le parcours n’a fait que 7,7 km au lieu de 8,5 parce que dans la nuit, des balises ont été enlevées. Marcel n’a pas eu le temps de retracer parce que « Edith arrivait » ! Ce n’est pas nous qui allons blâmer les singes blagueurs qui ont enlevé les balises !
Ecole de Dionewar : on retrouve les fillettes d’hier qui nous présentent leur maître.
Dotation dans la classe de CM1 B puis distribution des jeux : les enfants étaient vraiment ravis, ils jouent bien tous. Au moment de partir ils nous chantent une chanson qui nous fait craquer et on y va tous de notre petite larme :
Qui peut faire de la voile sans vent
Qui peut ramer sans rames
Et qui peut quitter son ami
Sans verser de larmes
Retour à la pirogue jusqu’à Palmarin, repas dans un gîte à 5 minutes de l’océan où on se baigne et retour à Simal. Encore des pélicans, des zébus et des baobabs, à perte de vue, la piste rouge et poussiéreuse.
Simal : là, c’est la DOUCHE ! Et on apprécie !